La journée étendait son rideau sur la ville, dissimulant les contours des bâtiments marqué par un drap d’obscurité mouvante. Dans un appartement exigu, perché au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni actuel ni ancestral, un facile poste de travail aux https://simonaimop.jiliblog.com/90442299/l-onde-indécelable-de-la-voyance-par-téléphone-audiotel-de-jolie-voyance