Arthur resta figé sur la scène, le regard fixé sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le calme du théâtre. Il n’y avait individu, aucun mouvement, aucune brise relativement grande pour charpenter un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer seul, à savoir s’il répondait à une présence indiscernable. https://rufusj531uit6.bleepblogs.com/profile