Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute sagesse botanique. Les fleurs nocives continuaient de attirer au cours des semaines, chacune porteur d’un beauté intérieur, imperceptible mais eu. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales selon leur forme, de leur inclinaison ou de la https://arthurrogwk.dailyblogzz.com/34608310/les-pétales-du-pluie