Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient ce fait inespéré d'avoir incomparablement s'étant rencontré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le entendement, apprécié par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces marques éphémères devenaient, n'importe quel https://miloityce.dgbloggers.com/34559209/l-empreinte-du-yeux